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Résidence Guillestre - Salle du Queyron- 15 au 17 avril 2025

A Guillestre, 3 axes de travail, la musique , la lumière et le corps.

Pour le corps , le rythme a fait l'objet d'une attention toute particulière, avec le ralenti et la lenteur. Le fait de modifier l'agré, Françoise Coulomb est passée du trapèze au pneu, a fait l'objet d'une recherche qu'il faudra développer sur la prochaine résidence pour enrichir l'improvisation et rendre l'agré moins agressif pour le corps.

Pour le son, la recherche très créative et riche d'Ottilie Bouchareu l'a menée à proposer sur une base fixe, des zones d'improvisations extraordinaires. La musique dans ce spectacle est un véhicule privilégié qui emporte le spectateur dans l'histoire.

Pour la lumière, une part d'improvisation en direct sur le corps dans l'agrés a été développée par Véro Gougat et cela rajoute une dimension onirique à l'ensemble. Une lumière volontairement diffuse souligne l'étrangeté du projet.

Un court mapping diffusé sur la toile précise l'histoire et l'ancre dans la réalité.

La restitution s'est faite devant un public nombreux (100 personnes) très à l'écoute qui a été absorbé par l'histoire. Les réactions ont été très positives et nous encouragent à persévérer. L'émotion est bien passée! Le final a été apprécié.

 

Le timing 40 mn et 5 minutes de discussion, semble fonctionner et permet au public de préciser l'histoire.

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Résidence Barnaves - Août 2024 (3 jours)

A Barnaves, la réflexion s'est axée sur la lumière avec Véronique GOUGAT  de la Cie ASCENDANCES, ainsi que sur  le son , le décor et le corps en scène avec Ottilie Bouchareu.

Nous nous sommes heurtés aux problèmes de hauteur de la structure dans le lieu (6m10, et le lieu offrait 6m30) le portique finalement est rentré! Le mouflage qui disfonctionnait est opérationnel. Et le timing des différentes manipulations de corde mis au point.

Le décor a été réajusté, plus sobre, moins esthétisant, plus dystopique.

La lumière fait émergé les éléments et semble indispensable au spectacle qui ne pourra être joué que de nuit ou en salle noire. Le choix s'est porté sur des éclairages subtils intimistes.

La musique a été retravaillée, la partie aérienne rallongée.

La restitution devant un public très restraint a mis en lumière des questions sur les voix (à retravailler) et des questions sur le final.

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Résidence St Crépin -  Février 2024 (1 jour)

A St Crépin avec Ottilie Bouchareu, nous avons réenregistré certaines voix, et Ottilie a composé la trame sonore du spectacle.

Résidence Montmaur - Septembre 2023 (5 jours)

A Montmaur, la résidence subventionnée par le CEDRA ,a permis de résoudre les problèmes techniques des accroches, mouflages , niveaux de hauteur du trapèze et emprise au sol de la structure. Un temps a été dévolu à la préparation du support à peindre et des protections à mettre en place dans les lieux.

Une première réflexion sur le déroulé du spectacle avec Cécile Saulnier comme regard extérieur.

Une première expérimentation de la toile et du geste, avec expérimentation de différents médium, encre de chine, gouache et acrylique avec Justin LE BOURHIS. Et recherches sur l'outil pour peindre, serpière, pinceau chinois...à creuser.

Un regard sur le costume et les tissus à utiliser pour le voile et la robe avec Nathalie GUICHON.

Une première restitution a eu lieu en fin de résidence devant une dizaine de spectateurs dans le jardin du chateau de Montmaur.

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Résidence Embrun - Août 2023 (5 jours)

Cette résidence s'est déroulée en deux temps

Le premier temps: a permis d'écrire la trame du spectacle, et surtout la première partie qui raconte l'histoire de Pippa Bacca .

Cette écriture s'est faite sous la direction de Nicole Escaffre de la Cie du p'tit Noyau.

Le second temps: ce fut la mise en voix du texte avec le déroulé des dialogues.

Résidence Eygliers - août 2020 (3 jours)

Un premier travail sur la présence en scène et à l'agrès avec Ottilie Bouchareu. A ce moment le fil directeur était le texte de la Femme squelette.

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